Quels aliments privilégiés pour avoir des vitamines D

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Les vitamines D sont généralement apportées par le soleil, d’ailleurs tout le monde espère en emmagasiner lors des expositions faites expressément. Les carences en vitamines D sont donc très rares puisque quelques minutes sous le soleil, bras et visage étant les seules zones touchées, permettent d’avoir les ressources en vitamines D nécessaires pour le corps durant la journée. Pourtant, il est toujours essentiel de repérer les aliments qui peuvent également apporter ces minéraux pour notre corps. En effet, le soleil ne sera pas toujours au rendez-vous, ou du moins il ne rayonnera pas aussi efficacement en hiver et lors de temps pluvieux. L’ensoleillement en défaut amène donc à l’adoption d’un régime particulier pour ne pas tomber dans la carence en vitamines D. De plus, les conséquences de l’insuffisance de ces minéraux dans le corps effrayent, notamment la contraction des maladies comme le rachitisme ou encore l’ostéomalacie. Ce sont des pathologies affectant particulièrement les os puisque les vitamines D sont les principales substances assurant l’assimilation du calcium et du phosphore à ces niveaux du corps. À noter que les carences peuvent avoir aussi comme causes certaines maladies cardiovasculaires, mais aussi d’autres comme l’asthme et la fibromyalgie. Ainsi, le ciblage des aliments qui recentrent une grande quantité de ces matériaux oblige, d’autant plus que les traitements par rapport à une carence en vitamines D se font rares.

Les poissons et les produits dérivés

Toutes les formes de poissons présentent généralement une quantité considérable en vitamines D. Une consommation régulière de ces aliments permet ainsi de combler les insuffisances. Saumon, sardines en boites de conserve ou encore les huitres et mêmes les huiles à base de foie de poisson ainsi que les caviars sont de sérieux concentrés de vitamines D. Les apports sont d’une dizaine, voire une vingtaine de microgrammes pour 100 g d’aliments consommés. À noter que les poissons connaissent des spécificités à la préparation afin de préserver le maximum de vitamines D obtenues.

Les produits de la basse-cour

  • Les oeufs : Le jaune d’œuf est le premier à prouver d’une grande quantité de vitamines D dans sa composition. L’œuf cru contient en effet 3,25 microgrammes de vitamine D donnés pour 100 g. Les vitamines B2 et B12, ainsi que le sélénium viennent en complément minéral dans ces aliments. Pour avoir environ 2,5 microgrammes de vitamines D, vous serez amené à inclure 100 g de foie de veau ou encore du foie gras dans votre régime.
  • La peau de poulet : La peau de la viande de poulet est un autre aliment qui contient beaucoup de vitamine D. Cela est dû au fait que cette partie de l’animal est très exposée au soleil et que ses plumes agissent comme un écran solaire naturel. Une portion de 100 grammes de peau de poulet fournit donc environ 17 microgrammes de vitamine D, ce qui représente plus de la moitié des besoins quotidiens d’un adulte en vitamine D

Les champignons

Vous pouvez également compter sur les champignons qui poussent un peu partout dans la forêt d’à côté pour vous rapporter de la vitamines D dans vos plats. Les champignons contienent en moyenne 0,2g pour 100g de champignons crus.

Les produits laitiers

Par ailleurs, les produits laitiers de toutes les formes sont aussi des sources de vitamines D facilement accessibles. Beurre, yaourt nature, ou même lait entier peuvent être choisis. Les apports se situent aux alentours de 1 microgramme pour 100 g. Le fromage vient en exception dans cette teneur moyenne de vitamines D suivant les déclinaisons, mozzarella, brie, ou encore cheddar.

Les poissons marins et les produits dérivés

Toutes les formes de poissons présentent généralement une quantité considérable en vitamines D. Une consommation régulière de ces aliments permet ainsi de combler les insuffisances. Saumon, sardines en boites de conserve ou encore les huitres et mêmes les huiles à base de foie de poisson ainsi que les caviars sont de sérieux concentrés de vitamines D. Les apports sont d’une dizaine, voire une vingtaine de microgrammes pour 100 g d’aliments consommés. À noter que les poissons connaissent des spécificités à la préparation afin de préserver le maximum de vitamines D obtenues.

Les produits de la basse-cour

Le jaune d’œuf est le premier à prouver d’une grande quantité de vitamines D dans sa composition. L’œuf cru contient en effet 3,25 microgrammes de vitamine D donnés pour 100 g. Les vitamines B2 et B12, ainsi que le sélénium viennent en complément minéral dans ces aliments. Pour avoir environ 2,5 microgrammes de vitamines D, vous serez amené à inclure 100 g de foie de veau ou encore du foie gras dans votre régime. Vous pouvez également compter sur les champignons qui poussent un peu partout dans la forêt d’à côté pour vous rapporter quelques quantités de vitamines D dans vos plats. Tous les types comestibles y mettent 0,2 microgrammes de ces minéraux avec 100 g, en effet. Par  ailleurs, les produits laitiers de toutes les formes sont aussi des sources de vitamines D facilement accessibles. Beurre, yaourt nature, ou même lait entier peuvent être choisis. Les apports se situent aux alentours de 1 microgramme pour 100 g. Le fromage vient en exception dans cette teneur moyenne de vitamines D suivant les déclinaisons, mozzarella, brie, ou encore cheddar.